
Parce qu’ils sont formés sur des ensembles de données bien plus petits, les LLM non anglophones produisent beaucoup moins de résultats précis que les modèles en anglais, ce qui est un nouveau problème pour les dirigeants des grandes entreprises internationales.
Alors que les essais d’IA générative explosent dans les entreprises, il est courant que les DSI testent plusieurs modèles de langage étendus (LLM) auprès de différents fournisseurs, adaptés à diverses régions et langues. Mais ils découvrent que les modèles non anglophones sont nettement moins performants que leurs équivalents en anglais, même lorsqu’ils proviennent du même prestataire. Il n’y a rien d’alarmant dans ce constat : il est simplement dû au fait qu’il y a beaucoup…
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