
La France compte bien jouer dans le trio de tête, aux côtés des Etats-Unis et de la Chine, les plus grands pays en matière d’intelligence artificielle. Les investisseurs sont prêts à libérer des fonds à la faveur d’une amélioration du contexte politico-économique, mais les usages dans les entreprises restent à la traine.
« L’IA peut être et sera une force de progrès », rien de moins. Des mots qui pèsent lourds, d’autant qu’ils sortent de la bouche d’Eric Lombard, le ministre de l’Economie, qui a ouvert ce mardi matin à Paris le Business Day AI Action Summit à Station F. Pour atteindre cette ambition, le maitre de Bercy compte bien sur les entrepreneurs, les entreprises… bref : toutes les forces vives de la nation pour l’aider. « Aujourd’hui nous voulons nous assurer que l’innovation trouve son marché et soit performante », poursuit Eric Lombard. Cette percée…
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