
Aujourd’hui, Salesforce est très dépendant de la base de données d’Oracle. Mais PostgreSQL plutôt que MongoDB, pourrait bien répondre à la quête de liberté du fournisseur. Si ce mouvement se confirme, il pourrait avoir un effet d’entraînement beaucoup plus large et sonner la fin de la domination d’Oracle.
Salesforce développe des produits de remplacement pour la base de données d’Oracle. (Crédit D.R.)
Même si l’on retrouve plusieurs vétérans d’Oracle chez Salesforce.com, le fournisseur SaaS ne se prive pas de flirter avec des bases de données concurrentes. De récents articles indiquent même que, grâce à sa base de données maison, le fournisseur a pu s’éloigner « significativement » d’Oracle. Il faut ajouter à cela l’investissement de Salesforce dans la base de données NoSQL du leader MongoDB, et l’intérêt de longue date de l’entreprise pour…
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