L’Unesco mise sur Synology pour le stockage des bureaux distants

L’Unesco a choisi de mettre en place des solutions Synology dans 70 bureaux de terrain, afin de disposer d’un stockage fiable et d’assurer la redondance à l’échelon local.

L’UNESCO a également déployé un serveur Synology pour assurer la sauvegarde de 50 machines au niveau du siège.

Née après la Seconde Guerre mondiale, l’Unesco cherche à favoriser la paix en développant la coopération internationale dans les domaines de la science de la culture et de l’éducation. Son siège est à Paris, mais l’organisation possède également 70 bureaux locaux, implantés sur les cinq continents. Ces bureaux ne disposent pas toujours d’une liaison fiable à Internet, et ils peinent parfois à se connecter aux systèmes du siège. Pour cette raison, ils souhaitaient disposer d’une infrastructure locale pour héberger et sécuriser leurs fichiers.

Afin de répondre à ce besoin, l’Unesco a décidé en 2018 de déployer des systèmes packagés, permettant d’assurer à la fois la redondance et la sauvegarde à l’échelle locale. « L’équipe IT souhaitait une solution à la fois fiable, homogène et compétitive sur le plan économique », explique Jean-Victor Kingue, ingénieur avant-vente chez Synology. Le système retenu se compose de deux serveurs Windows en cluster qui hébergent des machines virtuelles Hyper-V, associés à deux serveurs NAS, l’un dédié au stockage des machines virtuelles, l’autre destiné à la sauvegarde. Pour ces derniers, l’Unesco a choisi des solutions de Synology : un serveur RackStation fournit le stockage LUN pour six machines virtuelles, tandis qu’un NAS de 4 baies est dédié à la sauvegarde en continu des unités logiques.

Un stockage hyperconvergé au niveau du siège

En complément, l’organisation a déployé au niveau du siège une infrastructure de stockage partagée, reliée par VPN aux différents bureaux. « En cas de problème, l’équipe informatique du siège peut intervenir à distance sur les serveurs locaux », souligne Jean-Victor Kingue. L’Unesco a choisi là aussi de s’appuyer sur une solution Synology, le NAS FlashStation3017, qui permet de créer un stockage iSCSI et une infrastructure hyperconvergée. Ce NAS peut accueillir jusqu’à 24 SSD. « Quand l’accès Internet n’est par garanti, l’organisation a aussi formé des collaborateurs sur place afin de pouvoir effectuer la maintenance et le dépannage », ajoute Jean-Victor Kingue.

Au niveau du siège, l’Unesco avait également besoin d’une infrastructure de sauvegarde pour une cinquantaine de postes de travail, serveurs et machines virtuelles. Pour celle-ci, l’organisation a choisi un serveur DiskStation918+, complété par le logiciel Synology Active Backup for Business, fournie gratuitement. Grâce à celui-ci, l’équipe IT peut gérer toutes les tâches de sauvegarde à partir d’une seule console.

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