L’Université de Clemson utilise Kubernetes une antichambre pour le HPC

Pour travailler sur la bio-informatique, un laboratoire de l’Université de Clemson se sert de Kubernetes pour analyser des grands jeux de données.

Le laboratoire de génétique et de biochimie utilise Kuberrnetes pour réaliser des bacs à sable pour l’analyse des jeux de données. (Crédit Photo : DR)

Le laboratoire Feltus du département de génétique et de biochimie de l’université de Clemson, Caroline du Sud (Etats-Unis) abrite une équipe interdisciplinaire de généticiens, d’informaticiens et de bio-ingénieurs qui associent génie logiciel et techniques de bio-programmation pour faire des découvertes moléculaires utiles dans les systèmes biologiques humains et végétaux. « Le laboratoire s’appuie sur la bio-informatique, les statistiques et les datasciences pour mettre en…

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