Pour les DSI, le low-code crée de la valeur métier

Ces plateformes conçues sur le principe du glisser-déposer permettent aux développeurs d’assembler des applications sans avoir besoin d’écrire du code. Shell Downstream, NTT Data Services et 7-Eleven font partie de ces entreprises qui exploitent les outils low code pour créer de la valeur métier. CIO Etats-Unis en a interrogé les DSI.

Craig Walker, DSI de Shell Downstream, estime : « le low code accélère les phases de proof of concept et la mise sur le marché des applications. »

Les méthodes agiles et DevOps ne sont pas les seules options à la disposition des DSI pour accélérer le développement d’applications.

En complément des sprints qui permettent de construire rapidement des applications, les développeurs utilisent des plateformes low code afin de combiner différents composants applicatifs, y compris des données et de la logique, depuis une interface conçue sur le principe du glisser-déposer. Pour prendre une image, celles-ci s’apparentent à des blocs de Lego virtuels que les développeurs peuvent déplacer avec la souris et greffer à leurs créations.

Pour les analystes de Forrester Research, les plateformes low code se différencient des solutions no-code. Ces dernières permettent à des « développeurs citoyens » la plupart du temps des analystes métier avec peu, voire pas d’expérience en programmation, d’utiliser des outils visuels similaires pour assembler des applications. Avec une solution low code, les développeurs peuvent encore avoir besoin d’écrire un peu de code, par exemple pour s’intégrer avec des applications plus anciennes, pour faire du reporting ou pour répondre à des exigences spécifiques en termes d’interface utilisateur.

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